jeudi 4 octobre 2007

Un autre poème

Hommage à Baudelaire:

Douces et brûlantes les caresses d'antan
Qui se fanent et se lassent sous le joug du
temps;

Et la vie palpite, alors que le ciel descend
Les coeurs s'agitent devant des corps incandescents

La lutte est furieuse, l'esprit dément
L'hypnose bouleversante mets la raison au ban

Mais prudence, pauvre chaland!

Si l'appel est suave et le désir charmant
Le remord, pour sa part, est un bien piètre amant.

( A une passante ...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Il est clair que l'expression de ton ressenti profond donne de très bons résultats. je t'avais dis que la poésie se résume à peu de chose, finalement.et j'adore!
bonne continuation . Ni